Le titre de l’initiative (14.092) suggère pourtant qu’elle entend protéger les enfants. Son acceptation aurait cependant l’effet contraire : en interdisant de fait les cours d’éducation sexuelle à l’école, elle priverait bien des enfants de leur droit à l’information, à la protection et à des prestations. Par conséquent, la CFEJ recommande le rejet de l’initiative sur la Protection contre la sexualisation à l’école maternelle et à l’école primaire.